Afin de relancer et renforcer notre économie au bénéfice du
peuple de France, il suffit de quelques mesures à mettre en œuvre le plus
rapidement possible, le programme proposé est très explicite sur le sujet, les voici :
Petit rappel
:
Si l’on
regarde seulement la « dette » actuelle de l’État, on voit que la
France consacre aujourd’hui plus à payer les intérêts de sa dette financière
passée qu’à assurer son service public, sa santé, sa recherche, son
développement, sa défense nationale ou l’éducation de ses enfants !
Les seuls
intérêts de la dette en France en 2014 se sont élevés à 45 Md€ !!!…. Sur une dette publique
totale d’environ 1.885,00 milliards d’euros en mars 2014, soit une dette de
plus de 25.830 euros par Français et 16.644 euros d’intérêt par famille. Cette
charge de la dette est aggravée chaque année par un déficit public qui ne se
résorbe pas et qui ne peut absolument pas se résorber avec les choix qui ont
été faits dès 1973 par la loi Pompidou !
Pour
rappel de la loi Pompidou de 1973 : source Wikipedia
« La loi
n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui
modifie le statut de la Banque de France et précise notamment les conditions
autorisant l’État à emprunter à la Banque de France. Cette loi est parfois
surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild.
Cette loi est
élaborée à l’initiative conjointe du gouverneur de la Banque de France, Olivier
Wormser, et du ministre de l’Économie et des Finances, Valéry Giscard
d’Estaing. »
Cette loi,
avec d’autres mécanismes destructeurs, est à l’origine en France de
l’endettement public et la création monétaire.
Il est
communément admis par tous, ceux qui ne sont pas informés et qui ne veulent pas
l’être, que la dette publique est due à :
- Une
mauvaise gestion des dépenses de l’état et un réel manque de
compétitivité.
Cela
est absolument FAUX ! Un mensonge des plus organisés !
Donc, la
seule solution pour résorber la dette publique française est :
- Privatiser
l’économie et appliquer le plan systématique d’austérité auprès du peuple
français.
Cela est une
fois de plus un mensonge éhonté de la part de toute la classe politique
politicienne professionnelle criminelle et voleuse de tous bords !
Ne jamais
oublier que nous parlons ici d’une dette publique odieuse !
Définition de
la dette odieuse :
C’est une
jurisprudence en matière de droit international relative à une dette contractée
par un régime, et qui sert à financer des actions contre l’intérêt des citoyens
de l’État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de «
dette odieuse » lorsqu’elle a été contractée par une dictature et qu’elle doit
être remboursée lors de la transition démocratique. Dans cette optique, ces
dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et
non pas de l’État en entier.
Le Centre for
International Sustainable Development Law (CISDL), dont la mission est de
promouvoir l’éducation juridique relative aux sociétés durables et la
protection des écosystèmes en favorisant la compréhension, le développement et
la mise en œuvre du droit international du développement durable, a proposé la
définition suivante : “ Les dettes odieuses sont celles qui ont été contractées
contre les intérêts de la population d’un Etat, sans son consentement et en
toute connaissance de cause par les créanciers. Le CISDL définit trois critères
qui fondent le caractère « odieux » d’une dette:
- L’absence
de consentement : la dette a été contractée contre la volonté du peuple.
- L’absence
de bénéfice : les fonds ont été dépensés de façon contraire aux intérêts
de la population.
- La
connaissance des intentions de l’emprunteur par les créanciers.
(Source :
Wikipedia)
Il existe des
solutions simples et totalement efficaces pour résorber cette dette publique
honteuse, odieuse et en finir avec l’austérité et la faiblesse de notre
économie actuelle.
Pour cela, il
faut prendre de suite les décisions qui suivent :
- Abroger
la loi Pompidou de 1973 et sortir de l’Article 123 du traité de Lisbonne
de décembre 2007, traité sur le fonctionnement de l’Union européenne
(TFUE), qui interdit aux Banques centrales de prêter de l’argent aux États
sans intérêt !
- Abroger
la loi n° 93-980 du 4 août 1993 contraignant le Trésor public à ne plus
être « présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de
France ».
- Abroger
la totalité de la loi du 12 mai 1998, qui intègre la Banque de France au
Système européen de banques centrales (SEBC), institué par le Traité de
Maastricht.
- Fin
du système de Réserve fractionnaire, plus de crédits aux banques privées
par les Banques centrales.
- Annuler
immédiatement les intérêts infâmes de la dette publique.
- Annuler
immédiatement la dette publique infâme qui n’appartient qu’aux banques
privées et non au peuple de France.
- L’état
revient de suite à l’emprunt auprès de la BC et de la BDF avec régulation
de l’émission du crédit par celles-ci afin d’éviter l’inflation.
- Séparation
immédiate des banques d’affaires des banques commerciales.
- Nationalisation
de certaines banques de crédits et d’entreprises privées.
- Fin
des cadeaux fiscaux (Exonérations fiscales et Exonérations de
cotisations sociales).
- Chasse
et lutte systématiques contre la fraude fiscale.
- Allégement
fiscal des entreprises.
- Refonte
totale du RSI (Régime Social des Indépendants) afin d’améliorer la
compétitivité des entreprises.
- Suppression
des charges et contraintes administratives.
- Protection
des produits régionaux et nationaux.
- Fin
des parachutes dorés au sein des entreprises privées.
- Baisse
importante de la TVA sur l’ensemble des secteurs : impôt injuste par
excellence.
- Lutter
totalement contre le démantèlement de l’industrie française au profit des
fonds de pension.
- Ne
pas attribuer le CIR (crédit d’impôt recherche) et le CICE (crédit d’impôt
compétitivité emploi) aux entreprises qui suppriment les emplois sur le
territoire français.
- Taxer
très fortement les dividendes.
- Obliger
que le versement des dividendes sur le territoire français ne représente
que 25% des bénéfices nets des entreprises afin que 75% restant soient
directement réinvestis dans l’outil industriel de l’entreprise.
- Passer
des 35 heures à 32 heures minimum permettant une amélioration et
performance des sociétés (Réf. MACIF et Mamie Nova) tout en permettant
embauches et repos à la fois de l’ensemble des actifs. La réduction du
temps de travail est une véritable richesse pour un pays démocratique et
humaniste. Cette réduction normale par une augmentation de la qualité de
production et des moyens de production permettra d’offrir un emploi aux
jeunes qui vont arriver en masse sur le marché de l’emploi. C’est une
solution logique liée parallèlement à l’augmentation du salaire minimum
qui doit passer à 1500 € garantis net/mois.
- Stopper
immédiatement la privatisation des aéroports français.
- Stopper
immédiatement les subventions détournées de l’État à la presse (226,7
millions d’euros en 2014…) et à « l’audiovisuel poubelle ».
- Annulation
totale du contrat de privatisation des autoroutes françaises. L’Etat
reprend ses droits et devoirs vis-à-vis des citoyens de France.
- Ne
pas taxer les sites d’échanges entre particuliers en ligne.
- Refonte
totale du Code du travail afin de le clarifier et le simplifier pour
l’ensemble des acteurs de l’économie française !
Merci à vous tous de pouvoir en parler à vos élus afin qu’ils
puissent parrainer ce programme et permettre à une candidature différente comme
celle que je propose à la France aujourd’hui de s’exprimer pleinement !
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